Je traverse les grandes boulevards
Et les petites rues touristiques
Dans ce ville de lumiere
Et je pense profondement
Des temps passées
Et du monde des hommes,
Leurs satires et leurs fauts,
Et du petit moule dans ma jupe
Qui battes comme un coeur
Dans la tristesse secrete du quotidien,
Banal et affreux. Les hommes
Mechants visitent mes reves,
Leurs saucissons plein des mensonges cruels.
Les rides de mon visage disent une histoire
des leurs mots odoreux. Ils baisent
des autres, les salopes sans poesie.
La terre tremble avec une siesme geant.
Un tsunami des larmes
couvre tout les crevices de mon ame.
Mais cela m’est egal.
Je suis une voyageuse au temporaire,
et les hommes sont seulement
les anes sordids et fous
dans les vortices
de mes yeux epuises.
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